Wednesday, February 24, 2010

B'Nai Brith Canada (Frank Dimant) donne un A+ au gouvernement Harper

La raison est que B'Nai Brith ne veut pas d'un juge honnête et impartial dans le conflit israélo-palestinien et que Harper a un parti pris sioniste convaincu.

De plus, Frank Dimant félicite Harper d'avoir nommé autant de chrétiens sionistes dans son gouvernement.


ALLER DIRECTEMENT @2:41
CBC The National | Feb 4, 2010 | 8:21

Is Stephen Harper Canada's most pro-Israel Prime Minister?  Wendy Mesley asks if Stephen Harper's pro-Israel stance has resulted in a shift in Canada's position on the Middle East

Journalist: "How you think Stephen Harper is handling the whole Middle East file?"
FRANK DIMANT: "I think it's just superb, I think this is the best handling of that file that we've experienced in the history of Canada-Israel relationships.
Journalist: Really? What's the difference? 
FRANK DIMANT: The difference is that he's acting out of principle, he's acting out of conviction of Israel being an ally, he's not trying to be an honest broker, he's not trying to weigh both sides, he's saying we have a democracy, we have an ally, we have an ally in fighting radical Islam, and we stand with the truth and justice.
Journalist: What's wrong with Canada being an honest broker? 
FRANK DIMANT: Would you want to be an honest broker between Britain and Nazi Germany? Say, you know what, we'll be the honest broker! Let's try to work out a deal! Would you like to be that?
Journalist: Who are you comparing to the Nazis?
FRANK DIMANT: I'm comparing the radical Islam, I'm comparing terrorism, that's what I'm comparing... When you have a Gaza that's not controlled by that element, I don't want Canada to be the "honest broker".
Journalist: I guess I'm just trying to figure out as well... Is it the circumstances that have changed or the politicians that have changed? 
FRANK DIMANT: I think it's the politicians that have changed. I think the politicians who understand -- because every politician brings a different understanding to the world scene -- I think this group of politicians have come with a background and in some cases a religious background, which helped them make their determinations in terms of the Middle East, in terms of justice. I'm very pleased that I didn't wait for this governement to come into existence to see the turning point. We established a relationship both with the Alliance Party, the Reform Party and the Conservative Party, and when I met those people -- when nobody wanted to meet with them, when people shunned them, when people talked about a "hidden agenda" and I listened -- I got an understanding of who they were and where they were coming from and I think that they understood better at that time than the Liberals did -- what was happening in the world, the dangers that we were about to face. And so therefore when they came into power, it was very easy for us to work with them. (...)





Harper récompensé par B'Nai Brith International



VIDEO - Le Canada Sous Influence du lobby judéo sioniste


VIDEO - La doctrine Harper: Israël à la vie à la mort

Droits et Démocratie sous la botte du régime sioniste de Harper

Harper et la criminalisation de la "critique excessive" d'Israël

Le premier sinistre Stephen Harper et les Juifs

Rappel: Accès à l'information - Un F pour le gouvernement Harper

The War Party - The Zionist Influence on NeoCon Foreign Policy(BBC)

Vendre la Guerre aux Américains - War Made Easy (V.F.)

FRONTLINE - Israel's Next War ? (PBS) They do not believe in peace talks. They do not want to share the land. They are well armed and are carrying out increasingly violent attacks, even targeting innocent civilians. They are members of Israel's militant far right, and they are threatening to become Israel's next big problem

Massacre at the Mosque - Baruch Goldstein's massacre at the Mosque of Jerusalem (Michael A. Hoffman II)

Vanunu et l'arsenal nucléaire secret d'Israel (BBC)

Le lobby d'Israel - The influence of AIPAC on US Foreign Policy (V.F.)

Inside Britain's Israel Lobby
 

Saturday, February 20, 2010

Israël engagé dans la répression de la société civile mondiale

Disinformation Tactics: The Methods Used To Keep You In The Dark
With the advent of anti-feudalism, and most importantly the success of the American Revolution, elites were no longer able to dominate information with the edge of a blade or the barrel of a gun. The establishment of Democracies (and Democratic Republics), with their philosophy of open government and rule by the people, compelled Aristocratic minorities to plot more subtle ways of obstructing the truth and thus maintaining their hold over the world without exposing themselves to retribution from the masses. Thus, the complex art of disinformation was born. The technique, the “magic” of the lie, was refined and perfected. The mechanics of the human mind and the human soul became an endless obsession for the elites.





La nouvelle stratégie d’Israël : « saboter » et « attaquer » le mouvement pour une justice globale

Dans une série extraordinaire d’articles, de rapports et d’exposés, l’influent Institut israélien Reut a identifié le mouvement pour une justice globale, l’égalité et la paix comme une "menace existentielle" pour Israël, écrit Ali Abunimah.

Vendredi 19 Février 2010

Dans cette présentation, l’Institut Reut demandé à Israël d’ "attaquer les catalyseurs" - les militants dans le monde pour la paix et la justice
Dans cette présentation, l’Institut Reut demandé à Israël d’ "attaquer les catalyseurs" - les militants dans le monde pour la paix et la justice

L’institut Reut a demandé au gouvernement israélien de consacrer des ressources substantielles pour « attaquer » voire "saboter" ce mouvement de manière criminelle dans ce que Reut appelle, les "pôles" internationaux de Londres, Madrid, Toronto, la baie de San Francisco et au-delà.

D’après les analyses de l’institut Reut, la doctrine stratégique israélienne traditionnelle - considérant que les menaces pour l’existence de l’État doivent être traitées par des moyens principalement militaires et ainsi combattues - est terriblement dépassée. Israël est plutôt confronté aujourd’hui à la double menace d’un "réseau de résistance" et "d’un réseau de délégitimisation."

Le réseau de résistance est composé de groupes politiques armés comme le Hamas et le Hezbollah qui "s’appuient sur des moyens militaires pour saboter tout geste visant à influer sur la séparation entre Israël et les Palestiniens ou à obtenir une solution à deux Etats" ("The Delegitimization Challenge : Creating a Political Firewall, Reut Institute, 14 février 2010).

En outre, le "réseau de résistance", vise prétendument à provoquer l’"implosion" politique d’Israël — à la façon de l’Afrique du Sud, de l’Allemagne de l’Est ou de l’Union soviétique — plutôt que d’obtenir une défaite militaire par un affrontement direct sur le champ de bataille.

Le "réseau de délégitimisation" — que le président de l’Institut Reut, Gidi Grinstein, ancien conseiller auprès du gouvernement israélien, désigne de manière provocante comme une "alliance impie" avec le réseau de résistance — est constitué du vaste mouvement, décentralisé et informel pour la paix et la justice, les droits humains et le BDS (boycott, désinvestissement et sanctions) regroupant des militants partout dans le monde. Ses manifestations incluent des protestations contre les visites de responsables israéliens dans les universités, la semaine de l’Apartheid israélien, l’activisme des institutions confessionnelles et syndicales, et "la guerre juridique" — par le recours à la compétence universelle pour cibler les présumés criminels de guerre israéliens. L’institut Reut a même cité mon discours à la conférence sur le BDS organisée par les étudiants du Hampshire College en novembre dernier comme guide sur la façon dont la stratégie de "délégitimisation" est censée fonctionner ("Eroding Israel’s Legitimacy in the International Arena," Institut Reut, 28 janvier 2010).

L’"attaque" combinée des "résistants" et des,"délégitimateurs" dit Reut, "a une importance stratégique, et peut devenir une menace existentielle globale dans quelques années."

Il avertit en outre que le "présage d’une telle menace serait l’effondrement de la solution à deux Etats, accord-cadre pour la résolution du conflit israélo-palestinien, ainsi que le regroupement derrière une ’solution à un Etat’ comme nouveau cadre alternatif."

Au niveau de base, l’analyse de Reut représente un progrès par rapport aux couches plus primitives et jusqu’ici dominantes de la pensée stratégique israélienne ; elle montre que l’on comprend, comme je l’ai dit dans mon discours à Hampshire, que "le sionisme ne peut pas simplement bombarder, enlever, assassiner, expulser, démolir, coloniser, mentir et arriver à se faire légitimer et accepter."

Mais ce qui sous-tend l’analyse de l’institut Reut est son incapacité totale à démêler les causes et les effets. Elle semble supposer que l’érosion spectaculaire de la réputation internationale d’Israël depuis ses guerres contre le Liban en 2006 et contre Gaza en 2009 est le résultat des prouesses du" réseau de délégitimisation" auquel il impute des objectifs totalement infâmes , sournois et malsains — à savoir, la "destruction d’Israël."

Elle blâme les "délégitimateurs" et les "résistants" de l’échec de la solution à deux Etats sans tenir compte de l’impitoyable et inexorable colonisation israélienne— appuyée par pratiquement tous les organes de l’État — délibérée et destinée à rendre impossible le retrait israélien de Cisjordanie.

L’analyse n’a jamais considéré, un seul instant, que l’escalade des critiques visant les actions israéliennes pourrait être justifiée, ou que ceux qui viennent gonfler les rangs des gens qui sont prêts à consacrer leur temps et leurs efforts pour s’opposer aux actions d’Israël puissent être motivés par une indignation sincère et le désir de voir se concrétiser la justice, l’égalité et la fin des effusions de sang. En d’autres mots, Israël est en train de se délégitimer lui-même.

Reut n’a pas recommandé au cabinet israélien — qui a récemment tenu une session extraordinaire afin d’entendre un exposé des conclusions du groupe de réflexion — qu’Israël change effectivement son comportement envers les Palestiniens et les Libanais. Il ne comprend pas que l’apartheid sud-africain a également été confronté à un « réseau de délégitimisation » mondial, mais que celui-ci a maintenant complétement disparu. Et pourtant, l’Afrique du Sud, existe toujours. Une fois que la cause motivant le mouvement a disparu - l’injustice de l’apartheid officiel — les gens ont abandonné leurs panneaux et leurs campagnes BDS et sont rentrés chez eux.

(JPG)
Manifestation massive à Lille, le 19 janvier 2009, contre l’attaque israélienne sur Gaza.

Au lieu de cela, Reut recommande au gouvernement israélien une contre-offensive agressive et éventuellement criminelle. Dans sa présentation powerpoint faite à la récente Conférence d’Herzliya sur la sécurité nationale israélienne, Grinstein invite effectivement les "services de renseignement " israéliens à se concentrer sur les « pôles » nommés ou non du" réseau de délégitimisation " et d’ "attaquer les catalyseurs" de ce réseau. Dans son document "The Delegitimization Challenge : Creating a Political Firewall " Reut recommande qu’ "Israël sabote les catalyseurs du réseau ».

L’utilisation du mot "sabotage" est particulièrement frappante et devrait attirer l’attention des gouvernements, des services juridiques et des directeurs d’université préoccupés par la sécurité et la protection de leurs étudiants et de leurs citoyens. La seule définition de "sabotage" dans le droit des USA le qualifie d’acte de guerre au même titre que la trahison lorsque qu’il est mené contre les USA. En outre, dans l’usage courant, l’American Heritage Dictionary définit le sabotage comme "un acte déloyal visant à faire échouer ou à entraver une cause ou un projet ; subversion délibérée." Il est difficile d’imaginer une utilisation légitime de ce terme dans un contexte politique ou dans des campagnes de sensibilisation.

À tout le moins, Reut semble demander aux services d’espionnage israéliens de mener des actions clandestines pour s’ingérer dans l’exercice de la liberté d’expression, d’association et de soutien, aux USA, au Canada et dans les pays de l’Union européenne, et éventuellement pour nuire à des personnes et des organisations. Ces mises en garde concernant les intentions éventuelles d’Israël — surtout à la lumière de sa longue histoire d’activités criminelles sur sol étranger — ne devraient pas être prises à la légère.

L’Institute Reut, basé à Tel-Aviv, lève un montant important de fonds exonérés d’impôts aux USA par le biais de sa branche sans but lucratif appelée "Les Amis étasuniens de l’Institut Reut" (AFRI). Selon ses documents publics, l’AFRI a envoyé près de 2 millions de dollars à l’Institut Reut en 2006 et 2007.

Outre une campagne internationale de sabotage sous les auspices de l’État, Reut a également recommandé une politique "douce". Celle-ci fait appel spécifiquement à la hasbara, ou propagande d’Etat, pour donner une image verte d’Israël, refuge high-tech des technologies environnementales et des produits culturels de haut niveau — ce qu’il appelle la "marque Israël."

D’autres éléments comprennent "le maintien de milliers de relations personnelles avec des élites et des personnes influentes du monde politique, culturel, dans celui des médias et de la sécurité à travers le monde et la « mise à contribution » encore plus étroite à sa cause « des communautés juives et israéliennes de la diaspora ». Il a même souligné qu’Israël devrait utiliser "l’aide internationale" pour renforcer son image (son incursion de pure forme dans le tremblement de terre d’Haïti illustre cette tactique).

Le point commun de ces stratégies est qu’elles visent à décourager, retarder et détourner l’attention de la question fondamentale : tout en se prétendant un État libéral et démocratique, Israël est une ethnocratie ultranationaliste qui s’appuie sur la répression violente des droits les plus fondamentaux de millions de Palestiniens, qui seront bientôt en majorité démographique, afin de maintenir le statu quo. Dans la nouvelle stratégie de Reut on ne change pas de jeu.

Reut ne se rend apparemment pas compte de l’ironie qu’il y a à essayer de réformer la "Marque Israël" en quelque chose de confortable, tout en recommandant publiquement que les espions israéliens tristement célèbres "sabotent" les groupes pacifistes sur le sol étranger.

Il y a deux leçons dont nous devons tenir compte : l’analyse de Reut prouve l’efficacité de la stratégie BDS, et comme les élites israéliennes craignent de plus en plus pour les perspectives à long terme du projet sioniste , elles risquent d’être plus impitoyables, plus dénuées de scrupules et plus désespérées que jamais.







Ali Abunimah est co-fondateur de l’Electronic Intifada et l’auteur de : One Country : A Bold Proposal to End the Israeli-Palestinian Impasse.

(JPG) Ali Abunimah est cofondateur de The Electronic Intifada et l’auteur de One Country : A Bold Proposal to End the Israeli-Palestinian Impasse (Metropolitan Books, 2006).

The Electronic Intifada - Cet article peut être consulté ici :

http://electronicintifada.net/v2/ar...
Traduction : Anne-Marie Goossens
http://www.info-palestine.net

La pression monte sur Israël pour qu'elle s'explique sur le rôle du Mossad dans l'assassinat du chef militaire du Hamas à Dubaï

La tête du Mossad est réclamée par les autorités de Dubaï.



Cover up of Payoneer CEO (ex-IDF) role in Mossad's Dubai Hit


Payoneer CTO Covers Up Colleague's Special Forces Experience A video clip is pulled, indicating that the Israelis are trying to conceal Yuval Tal's military experience as a former Israeli special forces soldier, after the Payoneer link to the Mossad's Dubai hit was exposed. Tal's company Payoneer was largely funded by a Herzliya-based venture capital company, whose founder served in the elite Unit 8200 of the Israeli Intelligence Corps.

Le directeur technique de Payoneer camoufle le passé de son collègue dans une unité d'élite militaire

(Payoneer CTO Covers Up Colleague's Special Forces Experience)


Le jour suivant la révélation de la piste financière liant l'équipe de Yuval Tal à l'assassinat du Mossad à Dubaï par de nombreux journaux dont le New York Times et le Wall Street Journal, un petit clip vidéo de 2006 dans lequel Tal s'exprimait en tant qu'ancien soldat dans un commando israélien a été retiré par nul autre que son partenaire d'affaires Yaniv Chechik. La compagnie de Tal Payoneer est en grande partie financée par une société basée à Herzliya, dont le fondateur a servi dans l'unité 8200, une unité d'élite du renseignement militaire israélien spécialisée en technologie.

Yuval Tal est le PDG israélien de Payoneer Inc, qui a offre des cartes MasterCard prépayées émises par MetaBank, telles qu'utilisées par les assassins
qui ont éliminé le haut responsable du Hamas, le 19 janvier 2010, à Dubaï.
Payoneer est maintenant basé à New York et maintient un centre de recherche et développement à Tel Aviv, qui est l'endroit où elle a été fondée en 2005. Payoneer offrait aussi des cartes de fournisseurs émises par la First Bank of Delaware, mais Tal a annoncé que Payoneer transfèrerait désormais "toutes les cartes" "à MetaBank".

Yuval Tal a servi dans une "unité d'élite de combat" de Tsahal.

http://i218.photobucket.com/albums/cc56/poseidon888/YuvalTalEliteCombat.png

 
L'une de ces unités d'élite est Sayeret Matkal, dans lequel Benjamin Netanyahu a été chef d'unité de l'équipe.

Yuval Tal apparaît dans cette vidéo, parlant à propos de Payoneer et des paiements internationaux par carte de débit prépayée de MasterCard.


http://i218.photobucket.com/albums/cc56/poseidon888/YuvalTalOnPayoneer.png

Cela faisait trois années et demi que le clip de Fox News dans lequel Tal parle de la guerre de juillet 2006 entre Israël et le Liban, en sa qualité d' "ancien soldat d'un commando israélien" était disponible sur YouTube et Metacafe.

http://i218.photobucket.com/albums/cc56/poseidon888/YuvalTalSpecialOps.png

La mémoire cache de Google montre que la vidéo était encore disponible sur YouTube le 7 février 2010, après l'assassinat de Mahmoud al-Mabhouh, le 19 janvier à Dubaï. En date du 1er mars 2010, une recherche sur Google montrait que la vidéo Metacafe a été mise en cache par Google le 24 février (quelques jours plus tôt, le cache montrait une date antérieure, soit le 13 janvier). Étrangement, la vidéo est encore parfois visible sous le lien précédent, tout dépendant du navigateur utilisé ainsi que d'autres facteurs. Une recherche Google pour "special forces" et "Yuval Tal" fait apparaître actuellement les vidéos de YouTube et Metacafe comme deux premiers résultats. La vidéo a été mise à disposition ci-dessous.



http://www.youtube.com/watch?v=3FlHWlgoWq8

Toutefois, les deux exemplaires originaux du clip vidéo ont été retirés par leur expéditeur israélien: yanivche sur YouTube et yanivch sur Metacafe. Ces comptes utilisateurs sont clairement exploités par Yaniv Chechik, le directeur technique de Payoneer - et partenaire d'affaires de Yuval Tal.


http://i218.photobucket.com/albums/cc56/poseidon888/YanivChechikPayoneer.png


http://www.meetup.com/FinTechIsrael/members/10755756/

http://i218.photobucket.com/albums/cc56/poseidon888/YanivChechikFacebook.png

Chechik déclare qu'Israël est «le seul pays pour
» lui.

http://www.facebook.com/yaniv.chechik


http://www.spoke.com/info/pAfpvcD/YanivChechik


https://www.x.com/people/yanivch;jsessionid=CDE0CD729D7158EF405CF6DD271E0EE6.node0


(Note:
pour le lien ci-dessus Yaniv Chechik utilise le même compte utilisateur que sur Metacafe.)

https://www.x.com/blogs/payoneerX


http://www.crunchbase.com/person/yaniv-chechik


http://www.crunchbase.com/company/payoneer


En cliquant sur le lien ci-dessus, on peut constater que la compagnie établie à Silicon Valley "Greylock Partners" et la compagnie israélienne "Carmel Ventures" ont fourni l'essentiel du financement de Payoneer. Carmel Ventures a été fondé en 2000 par Shlomo Dovrat et Avi Zeevi et est établi à Herzliya, dans la banlieue nord de Tel Aviv, qui se trouve être également l'emplacement du quartier général du Mossad. Herzliya est aussi le lieu de la conférence annuelle
de la sécurité nationale d'Israël. La conférence d'Herzliya a été fondée et présidée par Uzi Arad, qui a travaillé pour le Mossad pendant plus de deux décennies. Shlomo Dovrat a servi dans une «unité d'élite en technologie» au sein de l'armée israélienne: la technologie de l'unité 8200 des renseignements militaires israéliens (corps du renseignements), responsable de la collecte de signaux de renseignement et du décodage, et jugée comparable à la NSA des États-Unis. L'équipe israélienne de Greylock est établie à Herzliya Pituach, sur la côte à deux ou trois miles à l'ouest de Herzliya.

Le produit de la firme israélienne Comverse
nommé "Logger" était fondé sur la technologie de l'unité 8200. Les programmes d'écoute électronique de Comverse sont suspectés d'avoir une porte dérobée, grâce à laquelle l'écoute électronique peut être interceptée par des tiers non autorisés. Et Comverse a été impliqué dans un scandale d'options antidatées. Son fondateur et ancien PDG Kobi Alexander, accusé sous plusieurs chefs d'accusation de fraude, s'est enfui en Namibie et a été classé comme fugitif recherché par le FBI.

Yuval Tal et Yaniv Chechik sont identifiés comme les inventeurs sur la demande de brevet 20080140564, qui décrit «un système et une méthode pour le transfert de paiement, et en particulier, à un système et une méthode facilitant les paiements devant être calculés et distribués à une pluralité d'utilisateurs à travers une pluralité de méthodes de transfert". Un tel système serait certainement utile à une équipe d'assassins du Mossad.

Tal et Chechik, ont été nommées dans le registre WHOIS au domaine Payoneer.us, avec Chechik comme contact technique.

Lors de la mise en mémoire cache de Google pour la vidéo de Metacafe, la vidéo peut encore être vue, mais pas avec Firefox. Ça fonctionne avec Internet Explorer ou Flock. Désactiver l'assistant de téléchargement de Firefox ne fait aucune différence, et elle est toujours visible avec Explorer après l'installation d'un assistant de téléchargement pour Explorer. Toutefois, l'assistant de téléchargement d'Explorer signale qu'aucune vidéo n'est disponible pour téléchargement, même si la vidéo peut être vue.

Après avoir sélectionné "Modifier la vidéo" sur la page en cache Metacafe, un message confirme que la vidéo Tal a été supprimée le 25 février:

Attention: Vous recréez une page qui a été supprimée précédemment.

Vous devriez reconsidérer s'il est approprié de continuer à éditer cette page. Le journal des suppressions de cette page est fourni ici par commodité:

09:24, 25 février 2010 Wikicafe (Discuter | Contributions) a effacé «195421» (changé en "Retirée par l'expéditeur (391)" par l'utilisateur yanivch)
Attention: Vous n'êtes pas identifié. Votre adresse IP sera enregistrée dans l'historique d'édition de cette page.



http://i218.photobucket.com/albums/cc56/poseidon888/YuvalTalMetacafePulledBySubmitter.png


Certains Israéliens mêlés à l'assassinat de Dubaï sont innocents, par exemple les citoyens à double nationalité dont le passeport a été copié et utilisé frauduleusement. Yuval Tal pourrait être innocent, mais il est un ancien soldat des forces spéciales israéliennes, il ne clame pas son innocence (et n'a pas d'alibi), comme certains parmi ceux dont l'identité a été volée, et les vidéos ont été rapidement retirées par son partenaire d'affaires Yaniv Chechik lorsque la connexion de Tal Yuval à l'assassinat a été révélée par la police de Dubaï et par la suite signalée par le New York Times et le Wall Street Journal.

Le récit rapporté dans l'éditiom du 24 février a couvert la piste liant MetaBank et Payoneer Inc. à Dubaï:


La police de Dubaï affirme que l'équipe d'assassins a utilisé des cartes de crédit obtenues avec de faux passeports pour payer leur billets d'avion et leur chambre d'hôtel à Dubaï, y compris des missions préliminaires d'examen des lieux aussi tôt qu'en 2009.

Selon la police, tous sauf quatre possédaient des cartes MasterCard émises par Meta Financial Group Inc, un prêteur établi à Storm Lake, en Iowa, opérant sous le nom MetaBank.

Une porte-parole MetaBank, ShaRee Schnitker, s'est refusé à tout commentaire parce que la banque ''tente de confirmer l'exactitude des allégations faites par la presse.''

La police de Dubaï relie MetaBank à une autre société américaine, Payoneer Inc, laquelle fournit des cartes prépayées
de MasterCard émises par MetaBank et d'autres prêteurs. Le rôle de la société non cotée (privée), qui est établie à New York et dispose d'un centre de recherche et développement à Tel Aviv, n'était pas clair dans l'immédiat.

''Nous sommes au courant des informations nouvelles'', a déclaré Mary Kae Marinac, un porte-parole de Payoneer, dans un communiqué transmis par courriel. ''Nous coopérons avec la Banque et les autorités pour étudier la question.''

Source


Toujours le 24 février, le Wall Street Journal a révélé le rôle de Yuval Tal comme ancien soldat d'un commando de l'armée israélienne.

 
Le PDG de la société, Yuval Tal, est apparu sur les ondes de Fox News pour commenter la guerre au Liban en 2006, se présentant comme un ancien soldat d'un commando israélien. M. Tal n'était pas disponible pour commenter.

Source

Le lendemain, la vidéo de Tal était retiré de Metacafe (et probablement de YouTube à peu près en même temps) par Chechik, le partenaire d'affaires de Tal. Ce serait un comportement plutôt étrange pour quelqu'un qui n'a rien à cacher. Les gens ne sont normalement pas timides au sujet de leur expérience militaire. De même, le refus d'Israël de confirmer ou de nier son rôle dans l'assassinat de Dubaï n'est pas le fait d'une partie innocente.

Le Wall Street Journal rapporte que Tal, qui a été rejoint par téléphone le jeudi 25 février, aurait dit que la compagnie (Payoneer) a été "très surprise" qu'il soit mentionné dans le rapport de police de Dubaï. Toutefois, il n'a fait aucun commentaire au sujet de son expérience militaire israélienne.

L'Australie suspecte trois citoyens de double nationalité israélo-australienne d'avoir espionné pour Israël ces dernières années, en utilisant des passeports australiens pour visiter les pays hostiles à Israël.

L'équipe d'assassins du Dubaï a utilisé un relaxant musculaire difficile à retracer, la succinylcholine, pour la sédation du haut responsable du Hamas Mahmoud al-Mabhouh, avant de l'asphyxier, de sorte qu'il n'y aucun signe de lutte et pour que ça ressemble ainsi davantage à une mort naturelle. La succinylcholine, utilisée par les agences de renseignement, est soupçonnée d'avoir été utilisée dans le meurtre du Dr David Kelly, en 2003, officiellement considérée comme un «suicide». Une femme enregistrée comme handicapée avec une réputation de fantaisiste est supposée avoir produit une lettre "avouant" être un "agent du MI6" et avoir tué Kelly en utilisant succinylcholine, en plus d'être accusée d'avoir produit quelque 500 faux documents et notamment des résultats détaillés d'analyse post-mortem. Les menteurs et les affabulateurs sont très utiles pour les services de renseignements qui s'en servent pour discréditer les recherches légitimes ou des preuves.

Le Vice-président du développement d'affaires de Payoneer, Marni Mandell, est l'ancien PDG du
Alexander Muss Institute for Israel Education (AMIIE), qui, en partenariat avec le "Israël Advocacy and Education Department" du Fonds national juif (JNF), a été décrit comme étant capable de remplir les "tâches mandatées" énoncées par l'Organisation sioniste mondiale "pour offrir une éducation sioniste à la diaspora". Mandell a été le directeur nord-américain de OTZMA à la United Jewish Communities, et a participé au Taglit-Birthright Israël ainsi qu'à des programmes destinés à amener des Juifs américains en Israël comme bénévoles.

Compte tenu du refus de dénier, des antécédents et d'autres faits tels que le besoin des suspects d'accéder à des passeports européens de citoyens israéliens de double nationalité pour copier des données personnelles, il n'existe aucun autre suspect crédible pour le meurtre de Dubaï. Le New York Times et le Wall Street Journal auraient jugé qu'ils n'avaient rien à perdre en publiant la connexion à Dubaï
de Yuval Tal, et en même temps, ils stimuleraient la réputation de longue date du Mossad d'être impitoyable, en dépit du fait que leurs opérations ne se déroulent pas toujours comme prévu.

Source






Mise à jour:

Le journal Gulf News parle de la connexion Payoneer:

 
http://gulfnews.com/news/gulf/uae/crime/no-us-help-requested-in-al-mabhouh-case-police-1.591193
 
  • By Abdullah Rasheed, Abu Dhabi Editor, and Siham Al Najami. and Abbas Al Lawati, Staff Reporters
  • Published: 00:00 March 3, 2010

  • ---

    [...]
    Cartes de débit prépayées

    Selon les informations publiées par la police de Dubaï, certaines des cartes utilisées par les suspects étaient des cartes Mastercard prépayées de Meta Bank, émises par Payoneer, une société établie aux États-Unis et spécialisée dans les cartes de débit prépayées destinés aux clients Internet.

    Les cartes fonctionnent comme des cartes de crédit mais peuvent être utilisées comme alternative en ce sens qu'elles sont suppléées par fonds à l'avance.

    La connexion Payoneer dévoile un réseau de liens avec Israël, en particulier avec la communauté du renseignement.

    Son PDG est Yuval Tal, un citoyen israélien qui, selon les rapports des médias, se décrit comme un ancien soldat de commando militaire israélien
    , dans une entrevue accordée à Fox News en 2006.

    Les clips vidéos de l'entrevue sur les sites partage de vidéos ont été supprimées.

    Toutefois, une personne disant avoir rencontré Tal à plusieurs reprises, mais ne souhaitant pas être identifiée, a confié à Gulf News: «il n'y a aucun doute dans mon esprit que Yuval a des contacts avec le Mossad
    [l'agence d'espionnage israélien]».

    Il a rapporté les propos d'une conversation que Tal aurait eu avec les participants d'un événement de charité juive à New York, où il parlait de ses liens avec le Mossad.

    "Yuval distrayait un petit groupe de gens avec des histoires de ses exploits dans Tsahal [l'armée iraélienne, IDF]. Plus précisément, il félicitait les renseignements israéliens et le fait que le Mossad et le Shin Bet [l'agence de sécurité intérieure d'Israël] lui donnaient toujours d'excellents renseignements pour ses raids de commandos. Il a dit que ses collègues surveillaient les déplacements [des dirigeants du Hamas Khaled] Mesha'al et [Esmail] Haniyeh sur une base quasi quotidienne," a-t-il dit.

    Payoneer est une propriété de trois sociétés de capital-risque: Greylock Partners, Carmel Ventures et Crossbar Capital.

    Greylock, qui a des bureaux aux États-Unis, en Inde et à Herzliya, en Israël, a été créé par Moshe Mor, un ancien capitaine de renseignement militaire dans l'armée israélienne.

    Carmel Ventures est un fonds israéliens de capital-risque étali à Herzliya. Crossbar Partners est dirigée par Charlie Federman, qui est également directeur général du BRM Group, un fonds de capital-risque qui est lui aussi établi à Herzliya et qui a été fondé par Nir et Eli Barkat, le premier d'entre eux étant le maire de la Jérusalem occupée.

    Source

     
    Oui, la vidéo a été supprimée le 25 février, mais elle a été remise sur YouTube et Russia Tube:

    http://rutube.ru/tracks/2984394.html?v=eb51bdcfa58e7fa7ea7ba1878f31f9a6

    http://www.youtube.com/watch?v=3FlHWlgoWq8






    Original text:

    Here's an interesting update from Gulf News about Payoneer.

    -------

     
  • By Abdullah Rasheed, Abu Dhabi Editor, and Siham Al Najami. and Abbas Al Lawati, Staff Reporters
  • Published: 00:00 March 3, 2010

  • [...]
    Prepaid debit cards

    According to information released by Dubai Police, some of the cards used by the suspects were prepaid Meta Bank MasterCards, which are issued by Payoneer, a US based company that specialises in prepaid debit cards targeted to internet shoppers.

    The cards function like credit cards but can be used as an alternative in that they are topped up with funds beforehand.

    The Payoneer connection unveils a network of links to Israel, specifically its intelligence community.

    Its CEO is Yuval Tal, an Israeli citizen who, according to media reports, described himself as a former Israeli special forces commando in a 2006 Fox News interview.

    Clips of the interview on video sharing websites have been removed.

    However, a person who said he met Tal a couple of times but did not want to be named told Gulf News that "there is no question in my mind that Yuval has contacts with [Israel's spy agency] Mossad".

    He recalled a conversation Tal had with attendees of a Jewish charity event in New York, where he spoke of his connections with Mossad.

    "Yuval was entertaining a small group of people with tales of his IDF [Israeli Defence Forces] exploits Specifically, he was commending Israeli intelligence and how Mossad and [Israel's internal security agency] Shin Bet always gave him great information on his commando raids. He said his colleagues' are tracking [Hamas leaders Khaled] Mesha'al and [Esmail] Haniyeh's movements almost every day," he said.

    Payoneer is held by three venture capital firms: Greylock Partners, Carmel Ventures, and Crossbar Capital.

    Greylock, which has offices in the US, India and Herzliya, Israel, was established by Moshe Mor, a former military intelligence captain in the Israeli army.

    Carmel Ventures is an Israeli venture capital fund based in Herzliya. Crossbar Partners is run by Charlie Federman, who is also managing director of the BRM Group, a venture capital fund also in Herzliya that was founded by Nir and Eli Barkat, the former of whom is the mayor of occupied Jerusalem.
    ---

    http://gulfnews.com/news/gulf/uae/crime/no-us-help-requested-in-al-mabhouh-case-police-1.591193

    Yes, the video was removed February 25, but has been made available...

    http://rutube.ru/tracks/2984394.html?v=eb51bdcfa58e7fa7ea7ba1878f31f9a6


    http://www.youtube.com/watch?v=3FlHWlgoWq8





    Israel ne confirme pas et ne nie pas non plus le rôle du Mossad dans l'assassinat, ils disent juste qu'il y a "pas de preuves"...

    Mais seul Israel a le motif d'assassiner le chef militaire du Hamas. Pas les British, ni les Irlandais. Peut-être que les services secrets british ont été de la partie dans l'assassinat et peut-être qu'ils font l'hypocrite en accusant Israel et en demandant des explications, menaçant même de couper les ponts avec le Mossad.

    VIDEO - Israeli Mossad Assassination footage in Dubai Hotel
    VIDEO - POLICE CONFIRMS ISRAELI MOSSAD WAS BEHIND MURDER IN DUBAI HOTEL
    VIDEO - Israeli Mossad steals identities and murders Palestinian leader
    VIDEO - Mossad was behind murder Mabhoh The senior Hamas commander in Dubai hotel
    VIDEO - News Analysis: Mossad Dubai Assassination (part 1) - (part 2)
    VIDEO - LES MEURTRIERS DU MOSSAD ONT ENCORE FRAPPÉ !
    VIDEO - Israel's Mossad in spotlight after Hamas murder
    VIDEO - Israeli murders using fake passports of Europeans, lets now go back to 911




    Meurtre d'un cadre du Hamas: Londres enquête, Israël maintient le flou sur son rôle

    Meurtre/Hamas: Londres enquête, des députés souhaitent qu'Israël s'explique

    Rien ne prouve l'implication du Mossad à Dubaï, selon Lieberman

    Israël sur la sellette
    Faux passeports, déguisements, engins sophistiqués: l'assassinat d'un cadre du Hamas à Dubaï a tous les éléments d'un
    La Grande-Bretagne a lancé hier une «enquête exhaustive» sur l'usurpation d'identité des Britanniques vivant en Israël.

    Les médias britanniques s'en prennent au Mossad israélien

    » Le Mossad et un assassinat à Dubaï | Richard Hétu

    Meurtre d'un cadre du Hamas: Israël espère éviter une crise avec Londres

    La nouvelle mission du Mossad: restaurer l'image d'Israël à Dubaï

    Israël joue sur « l'absence de preuves » dans le meurtre de Mabhouh

    Meurtre d'un chef du Hamas: la pression monte sur Israël, qui se tait

    Dubaï veut l'arrestation du chef du Mossad,"Israël" s'en moque

    La gaffe du Mossad plonge Israël dans l'embarras

    Le Mossad piégé par son meurtre

    Dubaï veut l'arrestation du chef du Mossad si le service est impliqué

    Assassinat à Dubaï d'un chef du Hamas - Le Mossad est mis en cause

    Assassinat de Dubaï - Les caractéristiques d’une opération israélienne classique

    Les escadrons de la mort du Mossad en Europe

    Complot du Mossad - L’envoyé d'Israël "doit expliquer" les accusations d’assassinat

    Le complot du Mossad - Le passeport pour la vérité à Dubaï reste secret

    Interpol publie les photos des assassins d’Al-Mabhouh pour les arrêter

    Why Israel will never confirm or deny role in assassination

    UK 'invites' Israeli envoy for talk In the worst-case scenario, he speculated, the British may threaten to cut off intelligence cooperation with Israel unless the Mossad gives them a list of other British nationals whose passports may have been usurped.

    Uruknet: Israeli assassinations: passports to kill - Our government seems to be fine with letting the Israeli secret service wage its war with

    Hamas under a British flag

    UK Telegraph
    : Mossad's licence to kill - The killing of Mahmoud al-Mabhouh bears the hallmarks of the ruthless Israeli intelligence service. One of the leading chroniclers of the agency gives a unique insight into its methods.
    WRH's webmaster comments:The Mossad team that murdered Mahmoud al-Mabhouh was using phony passports.

    Remember another time Mossad was suspected of using phony passports?

    After Dubai hit, Israelis question Mossad methods

    Mossad is supposed to gather intelligence, not sow death

    Israel Has ‘Policy of Ambiguity’ Over Dubai Killing; Mossad In Hot Seat Six of the men are Britons who immigrated to the Zionist entity. The seventh is an American Israeli, whose name Dubai said was on a German passport used by one of the assassins.

    Israel says no proof it carried out Hamas Dubai killing (C'est bien connu que le pays qui a le plus de raisons de vouloir tuer le chef militaire du Hamas, c'est l'Irlande! Délire!)

    Dubai assassination identity thefts threaten links with Israel Britain summoned the Israeli Ambassador to the Foreign and Commonwealth Office yesterday, and Gordon Brown promised a full inquiry into the use of fake British passports by a suspected Mossad hit squad.

    U.K., Ireland to Israel envoys: Explain identity theft in Dubai killing Israeli officials: Mahmoud al-Mabhouh assassination could spawn a serious diplomatic rift with Great Britain.

    TIMES: British investigate ID theft by 'Mossad' hit squad in Dubai

    The long arm of Israel must be amputated Gilad Atzmon

    Dubai hit exposed Hamas' soft belly

    Israel: Nothing links us to Mabhouh - UK, Ireland envoys have “nothing to add”; France, Germany demand explanations.

    'Dubai hit squad stole my identity': British man's name used by assassins who executed senior Hamas leader

    Terror of innocent Britons named as assassins: Why choose us, ask Britons whose identities were stolen by Mossad hit squad

    ‘Mossad assassination squad used British passports’

    At least five Israelis 'share names with Dubai hit squad suspects'

    A Mossad-style execution in Dubai

    Five Israelis wake up as named 'Dubai assassins'

    The tide in Britain turns against Israel (Gilad Atzmon)

    Names of Mossad Death Squad Published

    Did Britain know about Mossad hit? Israeli agent claims MI6 was tipped off

    Britain 'knew Mossad was using fake passports for Dubai hit'

    MI6 was 'notified' about Mossad assassination plot in Dubai

    Dubai wants head of Mossad arrested over Hamas assassination

    Soul-searching within Israel at 'amateurish' operation Officials thought to be embarrassed by series of clues left behind by Mossad agents

    Israeli agents go on PR offensive

    Israeli envoys in four countries were called in to meet with Foreign Ministry officials over the use of fake passports by a hit squad believed to be from the Mossad


    Mise à jour 20 fev 2010:

    New evidence reportedly points to Mossad's role in Dubai murder

    Dubai hit squad may have used diplomatic passports

    'Fake Identity' Brits Warned Their Lives Are In Danger

    'Netanyahu authorized Dubai assassination'

    Netanyahu Gave Personal Approval For Dubai Assassination - Times Online



    Israel Goes Rogue
    From identity theft to war crimes – is there anything the Israelis won't do?
    by Justin Raimondo, February 19, 2010
    When is the world going to finally decide Israel has gone too far – and do something about it?
    When Israel invaded and retained the occupied territories, imposing a regime that resembles the old South African apartheid system, the world looked the other way – after all, beleaguered Israel was fighting for its survival, and, besides that, peace talks were underway. The daily grinding down of the Palestinians could be accepted as a temporary and even necessary evil as long as there was some sort of vague expiration date attached to the arrangement.
    When it began to look like peace might be just a pipedream, and the Israelis continued sponsoring invasive "settlements" to cement their conquest, the world looked the other way. After all, everybody knew Netanyahu had to deal with an increasingly right-wing Israeli electorate, and his government could fall apart at any moment: no one expected President Obama to get tough with Tel Aviv anyway, and so no one was too surprised when the US caved on the settlements issue.
    The bombing and continued blockade of Gaza, the barbaric invasions of Lebanon, and the continuing refusal to correct the widespread human rights violations documented in the Goldstone report – all of this has darkened Israel’s image considerably, even among its staunch supporters. On account of this record, Israel is now widely considered a "rogue" nation, at least outside the US. One of the major reasons for this shift in perception has to do with the wide-ranging activities of the Mossad, Israel’s intelligence service.
    With a fearsome reputation for ruthlessness second only to the old KGB, the Israeli intelligence services are known for their boldness and their buccaneering tactics. This was once a public relations advantage: their raid on Entebbe was made into a successful movie for a reason. From rescuing hostages, however, the Mossad has lately gone in for assassinations on foreign soil, most recently in Dubai, where they offed Hamas military commander Mahmoud al-Mabhouh.
    This is nothing new for the Israelis: picking off their enemies on foreign soil is a longtime favorite sport of the Mossad. The innovation that’s got Israel’s allies in an uproar, however, is a relatively new weapon in the Mossad’s arsenal: identity theft. As the Telegraph reports:
    "Ministers are understood to be furious that an alleged hit squad which murdered a Hamas leader in Dubai last month cloned the passports of six unsuspecting Britons, who are now living in fear of reprisals.
    "Israel, which has not denied involvement in the murder, had previously promised that Mossad, its secret intelligence service, would never use British passports to help its agents carry out covert operations."
    The six are all British citizens living in Israel, where the Mossad had full access to their essential documents: they simply cloned the passports and sent their agents into Dubai. There the Israelis reportedly assembled quite a contingent, as many as 18, enough to qualify the effort as a full-scale military operation. In effect, the Israelis carried out a mini-invasion of Dubai, a fact not lost on the Emirate authorities.
    Interpol has posted the photos of the eleven (so far) known suspects, and issued a statement, including the following:
    "Since INTERPOL has reason to believe that the suspects linked to this murder have stolen the identities of real people, the Red Notices specify that the names used were aliases used to commit murder. INTERPOL has officially made public the photos and the names fraudulently used on the passports in order to limit the ability of accused murderers from traveling freely using the same false passports."
    If any institution embodies that vague abstraction known as "the international community," then surely it is Interpol, which coordinates the capture of transnational criminal gangs – sex traffickers, drug lords, and, yes, Mossad assassins. That they see Israel’s intelligence agency as an obstacle in their task of limiting "the ability of accused murderers from traveling freely" speaks volumes about the degree to which Israel has truly crossed the line.
    This isn’t exactly an innovation on the part of the Israelis: in New Zealand, you’ll recall, they had a large-scale passport "farm" in operation a few years ago. Their agents would identify someone completely disabled, or otherwise unlikely to travel abroad, and – unbeknownst to the victim — apply for a passport in their name. When discovered, the Israelis denied everything, but the cops had the goods and the trial of the Israeli spies was front page news for weeks. The New Zealanders all but broke off diplomatic relations with Israel over the matter, and the Israelis, while never admitting anything, made apologetic noises while the issue – mostly ignored by the Western media outside New Zealand — faded into obscurity.
    Now it has arisen once again, but this time in a far more serious context: this isn’t inconsequential-albeit-lovely New Zealand but Britain, France, Germany, Ireland, and possibly other Western nations who have had their passport systems violated. However, the worst of it is that the Mossad has apparently taken to "farming" the passports of Israelis who hold dual citizenships. According to Ha’aretz: "Five Israelis who hold dual citizenship in Britain and Germany and whose names were on some of the passports denied any connection with the Dubai death."
    If Israel’s intelligence services are now "farming" the passports of those numerous Israelis who hold dual citizenship, then the passport system – the key to maintaining security in the age of terrorism – is no longer reliable or even functional. Israel is a multi-national "nation," one created by a state-sponsored effort to get people the world over to move there, and many retain citizenship in their country of origin. The US doesn’t compile statistics on dual citizenship, but the number who hold dual Israeli and US citizenship is substantial: they are now all at risk of having their identities stolen by a covert army of assassins.
    There’s just one way to solve this growing problem, and that is to ban all dual citizenship, and ask Americans to choose. Yes, there’s a Supreme Court decision standing in the way, but if it requires a constitutional amendment, then so be it. At a time when maintaining the integrity of our passport system is key to preventing terrorist attacks on our territory and against our citizens abroad, it’s worth taking the trouble to patch up this gaping hole in our national security.
    That Israel has gone this far in its international campaign of murder and intimidation ought to motivate the civilized nations of the world to unite in protest. The government of Dubai is petitioning to have the head of the Mossad arrested for murder, and, come to think of it, issuing a warrant might not be such a bad idea. With a foreign minister who is the Israeli equivalent of David Duke, and a foreign policy that owes much to the Klingons, Israel, which is veering off into Asiatic despotism, needs to be pulled back toward the West. The way to do that is not to offer the Jewish state unconditional support, no matter how potty and self-destructive its policies may be, but to offer the kind of "tough love" that can bring it back into the Western orbit.
    We can’t afford to look away anymore: Israel has massively compromised the security of international travel, and has brought this on itself. Now is the time for the US and other Western countries to rein in their client state gone rogue – before it’s too late.



    Mise à jour 3 mai 2010:
    Un chef du Hamas abattu par l'armée israélienne

    Update 2021: Behind Bennett’s Payoneer payday, a firm that profited off smut and alleged cons